From the breathless hushes of Erik Troitsky:
THOMAS’ soft-more album is a hushed leap into breathless dance. Precious grooves lace the four-four jammery with an intimacy not seen since nativity. Deep within THOMAS’ narrative is a wilder paradise; a heaven built on stones of catch and rhythm. Pulsing tones and synthetic low-end weave while our morality cools into obsidian; glass candy for the Christ in all of us. B R E A T H is a new divinity. Grip and ye shall worship at the alter of smooth.Des silences essoufflés d’Erik Troitsky: (Traduit par Maya Keshav)
L’album soft-more de THOMAS est un saut feutré dans la danse essoufflée. Les mélodies précieuses tachettent le quatre-quatre avec une intimité pas vue depuis la nativité. Au fond du récit de THOMAS est un paradis plus sauvage; les cieux construits sur les pierres d’accroche et de rythme. Les tons pulsants et le low-end synthétique se balancent pendant que notre moralité se transforme en obsidienne; les bonbons en verre pour le Christ à l’intérieur de tout le monde. B R E A T H est une nouvelle divinité. Achetez et tu vas adorer l’autel de douceur.