From the machine shop underground of Mark Teo:
Dredged up from the industrialist-scarred hippocampus of Windsor, ON, The Spys were Southwestern Ontario's finest ponx first-wavers. Here, the scintillatingly melodic proof that in 1979, as in 2012, Fords ruined cities: "Machine Shop" defies their hometown's futureless, blue-collar bleakness one minimalist solo — and jazzy intro — at a time. On the flip, "Underground" tucks itself into the imperial bedroom of American power pop, emerging with a remarkably futurist-feeling recessionista anthem. (As it turns out, slugging wine, underemployment and the existential void aren't particular to current eras.) Consider the Spys one of the deepest — and unforgettable — notches on Rose City's rust belt.De l’atelier souterrain de Mark Teo: (Traduit par le passage de frontière de Maya Keshav)
Dragué de l’hippocampe gâché par l’industrialisme qui est Windsor, ON, The Spys étaient les meilleurs de la première vague de punk en Ontario du Sud. Ici, la preuve mélodique et scintillante qu’en 1979, comme en 2012, les Fords ruinaient les villes: “Machine Shop” brave la désolation col-bleu et sans avenir de leur ville natale pas à pas avec les solos minimalistes et l’introduction jazzy. À la face B, “Underground” puise dans la chambre impériale de la power pop américaine, en émergeant avec un hymne recessioniste qui a l’air remarquablement futuriste. (Il se trouve que la beuverie, le sous-emploi et le vide existentiel sont pas particuliers aux ères d’aujourd’hui.) Prends en considération que the Spys sont une des rainures les plus profondes— et inoubliables— sur le Rust Belt de la Rose City.