From the substantia nigra of Brendan Lehman:
Enter the Soupcans. Enter the Soupcans into a world of dystopian chaos, one of grinding distortions and impenetrable walls of sound. Manic screams guide you through dim-lit alleyways vaguely remembered. Living here, it sometimes calms down into a groove, but more days than not it’s the unceasing noise of your state oppressor, eating away at your once-sane consciousness. It’s hard to tell if it’s the cocktail your guy down the street cooked up for you or if that’s just the way it has become. Thoughts are fleeting, and you begin to wonder if anyone could ever help. Until you re-emerge, standing in the crowd of your local punk bar, listening to the Soupcans blow your mind. Thankfully it’s not the brain-oozing hell you thought it would be, just really good punk.
De la substantia nigra de Brendan Lehman: (Traduit de la contre-utopie effrayante de Catherine Debard)
Entrez dans Soupcans. Entrez dans Soupcans, dans un monde dystopique, un cauchemar chaotique de distortion écrasante et de murs du son impénétrables. Des cris déments vous guident le long de sombres ruelles vaguement familières. Ici, parfois, ça se calme dans une sorte de groove, mais la majorité du temps, les journées sont imprégnées du bruit incessant de votre oppresseur, qui bouffe tranquillement votre conscience jadis intacte. C’est assez nébuleux, à savoir si c’est le cocktail que ce type en bas de la rue a cuisiné pour vous ou si c’est juste ce que les choses sont devenues maintenant. Les pensées s’enfuient et vous vous demandez si quelqu’un pourra un jour vous aider. Jusqu’à ce que vous émergiez debout dans une foule, dans votre bar punk local, en écoutant Soupcans et en hallucinant carrément. Heureusement, ce n’est pas l’enfer cérébral suintant que vous imaginiez, c’est juste du punk vraiment bon.