From the smoke shed tannery of Andrew Clark:
Before wandering into town to lend his expertise as a guitarist/keyboardist/trombonist to everyone from the lush and textural L Con to the FM goldsoundz of The Magic, Andrew Collins lived in a small cabin on the side of a hill deep in the woods somewhere north of Guelph. What drew him to this life, and what ultimately made him re-emerge, may never be known. The owls, as they say, are not what they seem. The phenomenon of using a medium to manifest experiences an individual cannot explain or comprehend themselves is well documented in psychological circles. Indeed, whatever happened to Andrew during those years off the grid has made him a quiet and reserved man. When asked about what he saw and heard those dark nights he is more than likely to refer to one of his spectral compositions, jammed out fiercely by his all-star band, than give anyone a straight answer. The songs on Dragging The Lake are witness to unspeakable forces. Listen intently and you will find it is home to many spirits. Be warned though: do not rub this disk against your face.
De la tannerie enfumée d’Andrew Clark: (Traduit de la main spectrale d’Andréanne Dion)
Avant de s’aventurer en ville pour offrir ses services en tant que guitariste/claviériste/joueur de trombone à tous et chacun, du luxuriant et texturé L Con jusqu’aux fréquences goldsoundz de The Magic, Andrew Collins vivait dans une petite cabane sur le flanc d’une montagne, au fond d’un bois quelque part au nord de Guelph. Les raisons qui l’ont poussé à choisir cette vie, et éventuellement à la quitter, ne seront peut-être jamais connues. Comme ils disent : "The owls are not what they seem." Le phénomène selon lequel un individu utilise un intermédiaire pour donner vie aux expériences qu’il ne peut expliquer ou comprendre est bien documenté dans le champ de la psychologie. Effectivement, quoi qu’il soit arrivé à Andrew pendant ces années isolées et sauvages, ça fait de lui un homme introverti et réservé. Quand on lui demande ce qu’il a vu et entendu au cours de ces nuits noires, il est fort probable qu’il nous réfère à une de ses compositions fantomatiques, jouée avec férocité par son brillant groupe, plutôt que de nous répondre directement. Les chansons sur Dragging The Lake sont les témoins de forces indicibles. Écoutez attentivement et vous y trouverez plusieurs esprits. Soyez avertis : ne frottez pas ce disque à votre visage.