From the secret cave hideaway of Matthew Lazenby:
The Mandates trade in greasy, sleazy rock ‘n roll without a care in the world, yet every moment is tight and compact. Some may hear this collection of fist-pumping gems and refer to it as a throwback: three-minute tunes basking in timeless traditions of balls-out rock. And while it’s true that songs like “Gotta Forget That Girl” and “Daggers Girl” get me thinking about the Dead Boys or Richard Hell and the Voidoids, the sheer pluckiness and charm of this record is pretty irresistible. “She's Walkin' Over” closes the album in style with a driving beat, trashy power chords, and infectious hooks. Simply put, the Mandates’ new record is a barrage of snot-nosed guitar-laden fun.
De la cave secrète de Matthew Lazenby: (Traduit par Catherine Gaucher)
The Mandates font dans le rock ‘n’ roll graisseux, mal famé, sans le moindre tracas du monde, et pourtant chaque instant qu’ils produisent est juste et concis. Percutant comme un coup de poing, certains diront de ce rassemblement de petits bijoux qu’il est une visite dans le passé : des chansons de trois minutes faites dans les traditions pures d’un rock couillu. Même s’il est vrai que des titres comme « Gotta Forget That Girl » et « Daggers Girl » me font penser aux Dead Boys ou à Richard Hell and the Voidoids, la pure bravoure et le charme de cet album sont assez irrésistibles. Dans un rythme déferlant, c’est avec style que « She's Walkin' Over » clôt cet album grâce à ses power chords trash et ses hooks contagieux. En bref, ce dernier album de The Mandates est rempli d’un plaisir chargé d’arrogance et de guitares.