From the evidenced sounds of Joshua Robinson:
“Quiet”. Woolgathering as soft steps struggle to stomach the circuitous decay underfoot. A quiet that doubles as both hum and rattle; tectonic yet remote. Reticence that builds upon itself as so many hours upon the day. This is time lapse caught in situ; the stillness has found mood-form in the vibrance of a tamed chaos. Where the halcyon subsides, we are trapped at the point of denoument and the twirling precipice of soundless collapse. In these faults we find effulgent absence; in absentia we find pieces abridged.
Des sons justifiés de Joshua Robinson: (Traduit par Jessica Grenier)
« Silence ». Rêvasser en marchant doucement, chaque pas s’efforçant d’assimiler le déclin tortueux du sol. Un silence qui est tant cliquetis que fredonnement, tectonique mais éloigné. Une réticence qui se construit sur elle-même, comme les heures sur le jour. C’est un laps de temps figé in situ, la fixité ayant trouvé sa forme-émotion dans la vibrance d’un chaos dompté. Là où le beau se retire, nous sommes prisonniers du point de dénouement, du précipice tourbillonnant d’un effondrement silencieux. Dans ces erreurs nous trouvons une absence éclatante; in absentia, des pièces abrégées.