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A light wave washes over gold and laps around the ankles of psychedelic mores. The Everywheres’ debut full-length, conceived in mom and dad’s Halifax basement, and released down by the bay area, hangs in equilibrium between psych-blues heaviness and euphonic pop lightness. Ancestors of influence hover around the shoulders of Samuel Hill, and lend pseudo-nostalgia to us youngsters listening. It’s pop pastiche of the flower sounds of the ’60-’70s, extracted in a smoke-filled room at night. And when dawn cracks open like an egg yolk on linoleum, rippling out from the center point, it’s over easy.

Une vaguelette répand son onde dorée et lèche les chevilles de l’héritage psychédélique. Le premier album de The Everywheres, conçu dans le sous-sol des parents à Halifax et paru chez un label dans le bout de San Francisco, se tient en équilibre entre la lourdeur du blues psychédélique et la légèreté de la pop euphonique. Des ancêtres de renom observent par-dessus l’épaule de Samuel Hill et plongent les jeunots que nous sommes dans une pseudonostalgie. On croirait entendre un pastiche pop du son Flower Power des années 60-70 s’échapper dans la nuit depuis une pièce enfumée. Et lorsque l’aube éclot comme un jaune d’œuf ondoyant sur le prélart, tout finit par se brouiller.

The Everywheres - Cold Curator Sings

The Everywheres - Watch it Grow