From the antimatter incantations of Adam Bradley:
So much is deliciously deceptive about this band. They are called The Albertans. They are from Vancouver. They masterfully dart around a palette of genres, confounding the box-minded and pleasing puzzle-solvers. Like the masks of Hexadecimal, faces swap fluidly. Krautrock, wistful indie pop, Floydian space-outs, post-punk jank and Low-core are woven together in a curious helix. The meaty, slinking bass of “Begin The Beguin” drives through rainy Noir streets carrying a sultry, insidious female voice, thee ’80s riding shotgun. Yet more surprising is “Invisible Fortress”, an antimatter lo-fi sludge-punk number that feels like something incanted from the Dirty Beaches gospel.
Des incantations antimatière d'Adam Bradley: (Traduit par Andréanne Dion)
Il y a tant de choses délicieusement trompeuses à propos de ce groupe. Ils s’appellent The Albertans, mais sont de Vancouver. Ils passent habilement d’un genre à l’autre, déconcertant ceux qui ont l’esprit étroit et régalant ceux qui aiment les casse-tête. Comme les masques dans Hexadecimal, leurs visages changent avec fluidité. Krautrock, indie pop pensif, rêveries Floydiennes, trucs post-punk et Low-core sont tissés ensemble pour former un curieux ensemble. La basse lourde et tanguante de « Begin The Beguin » se déplace dans les rues noires, transportant une voix féminine voluptueuse et insidieuse, avec les années 80 assises côté passager. Plus surprenante encore, « Invisible Fortress » est une chanson lo-fi sludge-punk antimatière qui pourrait avoir été tirée du gospel de Dirty Beaches.