From the ominous urge of James Lindsay:
This minimal, mechanized noise sounds like a field recording from an abandoned warehouse where a cold wind howls through its ribs. Inside, a single microphone amongst rotting VHS tapes captures the band playing at half-speed when no one’s around. Hidden behind all this grave decay is a melodic drone that does much of the work, going about its job like an emotionally dead surgeon, clinically augmenting an ominous urge. Another mysterious and limited (30 copies!) release by Magic Mother, who seem to have made it their mission to exclusively offer up music that sounds like the bleakest winter. (Termina now perform under the name La Naegleria)
Du désir irrépressible de James Lindsay: (Traduit par Joannie Pharand)
Minime et mécanisé, ce bruit sonne comme un enregistrement fait sur le terrain d’un entrepôt abandonné où hurle, à travers les tripes de la structure, un vent froid. À l’intérieur, un seul micro parmi des cassettes VHS avariées capte le groupe jouant leur musique au ralenti lorsqu’il n’y a personne sur les lieux. Derrière tout cet imposant pourrissement se cache un ronronnement mélodieux s’occupant d’une partie du travail, s’attardant à la besogne comme un chirurgien sans émotion et faisant cliniquement accroître un désir irrépressible. C’est une autre édition limitée (30 copies!) et mystérieuse de Magic Mother, qui semble avoir pour mission d’offrir exclusivement de la musique qui sonne comme l’hiver le plus sombre. (Termina est maintenant connu sous le nom de La Naegleria)