From the muted tsunami of Joshua Robinson:
As the seasonally diasporic weight of regional temperance can assert, Saskatoon’s isolated lonerism streetwalks to the nightly melodies of fuzzed-out droner debutants, a soundtrack found in the greyed whites that carpet countenance and asphalt alike. Taikonaut’s Johnathan Vilness taps into this deeply rooted buzz-space, capturing the melancholy of an inner space freakout, complete with the voluminous warm-bodied amalgamation of spectral sound-walkings to the tune of LO-FI > NO-FI. Larger than the bile-bulge of stomachs fat on the audiophilic polyphonics of demagogues who profess the end to bedroom captured tonalities, Taikonaut regales in the potable fluids of limitless lo-fidelity. Sparking the surging swell of muted tsunamis, Vilness grabs with cold hands the guts of the beating bedroom spirit, reading in tea leaves the murmur of the sacred order of adherents to the golden-handed gloom-osity of musical fuzzscapes.
Du tsunami en sourdine de Joshua Robinson: (Traduit par la vague full-blast de Louis-Félix Pellerin)
Comme le poids diasporique saisonnier d’un climat tempéré peut le démontrer, et telle une trame sonore typiquement associée aux tons de gris qu’on retrouve sur un visage autant que sur de l’asphalte, le Solitarisme isolé de Saskatoon fait le trottoir au son des mélodies nocturnes de droneurs débutants surbourdonnés. Johnathan Vilness, de Taikonaut, capture la mélancolie d’une panique intérieure, en plus de l’amalgame chaud et volumineux de promenades sonores spectrales qui ont pour refrain LO-FI > NO-FI, en puisant dans cet espace infiniment bourdonnant et profondément enraciné. Plus enflé que la poche à bile de gras de bide sur les polyphonies audiophiles de ces démagogues qui ont déclaré la fin de l’ère des tonalités de chambre à coucher, Taikonaut régale le public de fluides potables d’un lo-fi sans limites. Déclenchant une houle montante de tsunamis en sourdine, Vilness saisit d’une main froide les entrailles de l’esprit battant de la chambre à coucher et discerne le murmure de l’ordre sacré des adhérents de la glauque-osité aux mains d’or des bourdorizons à travers les feuilles de thé.