From the summer haze of Davita Guslits:
If the album art from Strange Fires’ self-titled EP was a still from a film, you wouldn’t be surprised to press play and hear the billowing notes waft lazily towards you. They would lull you into a hazy memory of a teenage summer fling, or a vacation in the city spent grasping for—and almost reaching—the meaning of happiness. But with the closing lyrics of the EP, you come back down to Earth. Here, you realize that your fling wasn’t all wine and roses, and that your vacation gave way too soon to the usual routine, because “nothing really lasts”.
De la brume d’été de Davita Guslits: (Traduit par elfranc)
Si le visuel de l’album éponyme de Strange Fires était un cliché tiré d’une scène de film, on ne serait pas étonnés d’entendre les notes tourbillonner et flotter avec paresse dans notre direction. Elles nous transporteraient dans une mémoire floue d’un amour d’été d’adolescence ou dans des vacances en ville où nous avons essayé d’atteindre (et avons presque réussi) un vrai moment de bonheur. Mais les dernières paroles du EP nous ramènent sur terre. Ici, on réalise que notre amourette n’était pas toute de vin et de roses et que nos vacances ont laissé place trop tôt à la routine quotidienne, car « rien n’est éternel ».