From the screen burn of Cory Lefebvre:
Feel the click. Hear the magnetic sigh. Stare into a wave of static. A colour palette previously unknown emerges from a degraded tropical scale of tones. The long forgotten remnants of a screen burn stare back at you. Distorted by a sea of dead and dying phosphorous pixels, always looping back to the same fixed image. Every flaw reiterated and magnified in choral unison. The state of impermanence made permanent, imprinted on this tape of last week’s Law & Order.
Par la brûlure d’écran de Cory Lefebvre: (Par les papillons stomacaux réitérés d’ Émily Traichel)
Ressentez le clic. Écoutez le soupir magnétique. Contemplez une vague de parasites statiques. Une palette de couleurs jusqu’alors inconnue émerge d’une échelle dégradée tropicale de tons. Tombés dans l’oubli, les restes d’une brûlure d’écran vous renvoient le regard. Distorsionnés par une mer de pixels phosphoreux morts et mourants, revenant toujours en boucle à la même image fixe. Chaque défaut réitéré et magnifié en choeur. L’état d’impermanence rendu permanent, gravé sur cette cassette du Law & Order de la semaine passée.