From the nervous shredding of Eileen Wennekers:
All signifying form is in hysterics so we might as well have a good time with it. Some Men perform the symptom, jam the circuit structure of their songs, repeat only what pulses at the back of destabilized moods - the rhythm of signal breakdown. From underneath the space where we pretend to conduct ourselves with civility comes the insistence of the incivility of the configuration, pastiched into the soundtrack to nerves grated beyond remembrance of a time when thinking was not intolerable. Is this carnivalesque memento-mori a simulacra of the melodic or a resistant stain disrupting the hypocrisy of our composure or a meat-waltz dancing ten stories around a raging plague? “Are you living? Check your pulse.”
De l’égrugeage neveux d' Eileen Wennekers: (Traduit par Aliké Harel)
Toute forme pourvue de sens traduit l’hystérie, alors pourquoi ne pas s’amuser avec elle? Some Men incarne le symptôme, engorge le circuit structural de leurs chansons et reproduit seulement les pulsions qui couvent sous une humeur instable, tel le rythme d’un signal défaillant. Sous la surface, l’espace où nous nous habillons de civilités, se trouve la persistance de l’incivilité des configurations, pastiche entubé jusqu’aux nerfs, grattés pour en extraire le souvenir d’une époque où penser n’était pas intolérable. Est-ce que ce mémento carnavalesque de la mort est un simulacre du mélodieux, ou une tache récalcitrante qui souille la tenue d’apparats de l’hypocrisie, ou, encore, une valse de chairs tournoyant à dix lieues d’une violente peste? « Êtes-vous en vie? Prenez votre pouls. »