From the bursting clouds of Shawna Naklicki:
Submerged in a wave pool of sound, Sing Leaf shines through with a multitude of colours. Throughout the ten songs of his latest release, Watery Moon, Dave Como lets melancholia and longing percolate through both sound and lyrics in a landscape that includes expertly woven synth textures, ethereal echoing choir vocals and Paul Simon-esque influences. Sing Leaf can be a man and his guitar as in “Staying Alive”, while in “I’ve Got your Number” the cryptic sounds invoke imagery of a late night stalking and the struggle between hunter and prey. Whether singing about High John the Conqueror or relating to a grounded bird, Como does it with a sincerity that’s both uplifting and haunting.
Des nuages prêts à rompre de Shawna Naklicki: (Traduit par la pluie cervicale d’ Aliké Harel)
Submergé dans une piscine à vagues de son, Sing Leaf nous éblouit de mille couleurs. Dans les dix chansons de son dernier album Watery Moon, Dave Como laisse mélancolie et langueur percoler dans la musique et les paroles d’un décor où siéent des textures de synthé fignolées à point, un chœur de voix éthérées et l’influence d’un Paul Simon. Sing Leaf peut être un homme et sa guitare comme dans « Staying Alive », alors que dans « I’ve Got your Number » les sons énigmatiques évoquent une traque nocturne, la lutte entre le chasseur et sa proie. Qu’il chante sur High John ou se représente comme un oiseau pris au sol, Como le fait en toute sincérité, ce qui est à la fois édifiant et troublant.