From the of stirring spectres of Brian Fauteux:
Hiding in an empty room that is waiting to be filled, Shōgun’s The End stirs the ghosts that rest under chipped baseboards and deep carpet that has never seen the sun. Some strings loop while others creep outwards, towing in the cloudy glow of the late summer sky. These five songs eagerly fill the imperfect spaces where we sometimes reside. And the corners of our mind that all too easily lay dormant.
Des spectres qui s’éveillent de Brian Fauteux: (Traduit par le frisson automnal de Julie Mayer)
Caché dans une pièce vide qui n’attend qu’à être remplie, The End de Shōgun tire de leur repos les fantômes qui se trouvent sous les plinthes écaillées et la moquette épaisse qui n’a jamais vu la lumière du jour. Quelques cordes jouent en boucle alors que d’autres se glissent à l’extérieur et remorquent à l’intérieur la lueur ennuagée d’un ciel de fin d’été. Ces cinq morceaux remplissent les espaces imparfaits qu’il nous arrive d’habiter. Et les coins de notre esprit qui se laissent bien trop facilement gagner par le sommeil.
Shogun - Gazing At Your Face Reflecting the Beauty of the Moon