From the camera obscura of Josh Silver:
Silken veils blow inside a cavernous concrete room, revealing and denying in calculated curves. A voice, melted chocolate in viscosity, wafts through, drawing you into the fabric maze of reverbed guitar. Mono synth cuts through, afternoon light obscured by buildings, playfully jumping from window to window. The cityscape of mathematical rhythm remains distant but clear through the layer. The music of She Divides is an imaginary place of mystery and surprise hidden from the eye.
De la chambre noire de Josh Silver: (Traduit par Andréanne Dion)
Des voiles soyeux soufflent dans une pièce de béton caverneuse, se révélant et s’opposant dans des courbes délibérées. Une voix qui a la consistance du chocolat fondu flotte, vous attirant dans le labyrinthe tissé par les réverbérations de la guitare. Le synthétiseur se fait entendre alors que les édifices dissimulent la lumière de l’après-midi qui passe ludiquement d’une fenêtre à l’autre. Le paysage urbain de rythmes mathématiques demeure distant, mais se fait toujours entendre clairement. La musique de She Divides est un lieu imaginaire de surprises et de mystères cachés.