From the distant dancing of Jesse Locke:
DISCO DOESN’T SUCK. As perpetual Weird Canada favourite Sean Savage attests, the d-word doesn’t have to signify the brothers Gibb, a teenaged Travolta, or in the immortal words of Van Dyke Parks, “white boy pepper grinder madness.” Instead, Savage gives us swoon-worthy strings (with arrangements from the Silly Kissers’ David Carriere plus guest vox from singer Jane Penny), glittery synths, beachy bongos, and a soft-rock disco dancehall update to his classic pop romanticism. Turns out the Parisian night suit fits Savage perfectly.De la danse éloignée de Jesse Locke: (Traduit par Maya Keshav)
LE DISCO N’EST PAS NUL. Comme l’a dit Sean Savage, le préféré perpétuel de Weird Canada, le gros mot d**** n’a pas besoin de signifier les frères Gibb, l’ado Travolta, ou dans les mots immortels de Van Dyke Parks, “la folie moulin-à-poivre des garçons blancs”. À la place, Savage nous donne les cordes canon (avec les arrangements de David Carriere de Silly Kissers ainsi que une voix invitée de la chanteuse Jane Penny), le synthé flamboyant, les bongos de la plage, et une mise à jour soft rock disco bastringue pour son romantisme pop classique. Il se trouve que le costume des nuits Parisiennes vont à Savage parfaitement.