From the pop incantations of Joshua Robinson:
Like some rogue spirit navigating the crooked limbs and moss-ridden floor of the forest behind your house, Scattered Clouds linger hauntingly. The beauty of their music is cast in a furtive haze undermining the pop incantations overshadowed by morose instrumentation. These songs are dark and startlingly cathartic, as if bound to some bygone adage asserting that brightness comes with the dark, that heavy hearts are made light by the purging of concrete emotion, and that comfort is found in the dark recesses of bedroom corners and cold closets. With their self-titled EP, Scattered Clouds have created a heaviness that is remarkably self-limiting, lessening its darkness as one becomes familiar with (and increasingly awestruck by) the effortless breadth of their macabre tonality.
Des incantations pop de Joshua Robinson: (Traduit par les cauchemars verts d’Andréanne Dion)
Comme un esprit solitaire qui se fraye un chemin à travers les branches tordues et le sol recouvert de mousse de la forêt derrière la maison, Scattered Clouds persiste de façon troublante. La beauté de leur musique est projetée dans un brouillard furtif qui affaiblit les incantations pop éclipsées par des instrumentations moroses. Ce sont des chansons sombres et étonnamment cathartiques, comme si elles étaient liées par un adage ancien selon lequel la lumière vient avec la noirceur, les cœurs en peine sont allégés par la purgation d’émotions réelles, et le confort se retrouve dans les recoins obscurs des chambres à coucher et dans les placards froids. Avec leur album éponyme, Scattered Clouds ont créé une lourdeur remarquablement restreinte, qui diminue à mesure que l’on apprend à connaître et à apprécier l’ampleur de leur tonalité macabre.
Scattered Clouds - Charismatic, self-indulgent, self-obsessed