From the deep chasms of Joshua Robinson:
Soft lulls nudge at the drone-ry of sinusoidal eupnea as electronic orchestration brings to light the staying power of a textured calm. The sonic palette is antiquated, but in being so is refined; the tools of bygone times exhumed to breathe once again, exhaling the fine tones of a mastered craft and the channeled voice of a resonant staticism. These compositions are as delicate as glass, as fragile as they are ethereal. Yet, they are elemental in their resonance; flowing structures and layered depths bridging chasms too deep to truly know.
Des abîmes profondes de Joshua Robinson: (Traduit par la sérénité texturée de Maya Keshav)
Les tendres accalmies effleurent la drone-essence de la douceur sinusoïdale pendant que l’orchestration électronique met en lumière l’endurance d’une sérénité texturée. La palette des sons est vieillotte, mais en l’étant, elle est raffinée; on exhume les outils d’une époque revolue pour qu’ils respirent encore, en expirant les tons délicats d’un métier maîtrisé et d’une voix transmise, immuable. Ces compositions sont aussi délicates que le verre, aussi fragiles qu’éthérées. Mais, leur résonance est fondamentale; les structures fluides et les fonds superposés s’étendent sur les abîmes trop profondes pour vraiment les connaître.