From the brimming menstrual goblet of Liam Kennedy:
Describing your band as a “diva cup overflowing with menstrual blood left on your neighbour’s porch” captures the energy of Sacral Nerves as occupying the pubescent middle ground between quasi-political awakenings, awkward sexual self-awareness, and a mild fascination in the occult confluencing in long summer’s late-night neighbourhood pranks. But, Sacral Nerves are more than the brimming menstrual goblet. They are a crucified semi-lighter-melted bald Barbie doll with a blood-soaked Tampax crown of thorns, ketchup-soaked toilet paper entrails dangling above a gold spray-painted silicone holy grail spilling post-endometrium with every careful footfall, and the shushes, wispers, and held-in laughter from the bushes by the ditch as the porch light comes on.
Du gobelet menstruel débordant de Liam Kennedy: (Traduit par Jessica Grenier)
Décrire le band comme une « Diva Cup débordant de sang menstruel laissée sur le porche d’un voisin » capture bien l’énergie de Sacral Nerves et leur occupation du territoire pubère, quelque part entre un éveil quasi-politique, une conscience gênante de sa propre sexualité et une légère fascination envers le monde occulte qui convergent en une longue nuit estivale à jouer des tours aux voisins. Mais Sacral Nerves sont plus qu’un gobelet menstruel débordant. Ils sont une poupée Barbie crucifiée, son crâne chauve, à demi fondu par un briquet, couvert d’une couronne d’épines en Tampax ensanglanté, ses entrailles de papier de toilette enduit de ketchup pendouillant au-dessus d’un Graal de silicone recouvert d’un graffiti doré qui répand des résidus d’endomètre à chaque pas prudent, et les murmures, les chut! et les rires étouffés provenant des buissons près du fossé quand la lumière du porche s’allume.