From the mind-splintered-like-a-prism of Zachary Fairbrother:
Ryan Kirk is a graduate of the Dalhousie University Composition Program. He regularly plays with The Ether and OmmaCobba, and has collaborated with fellow 902 weird folker Gown. As part of the Divorce Records FreeWave series, Kirk sees his first release drifting from his earlier drone explorations (See Wargaz) into the further regions of modality, timbre, and tuning. Microtonal Freewaves plays with the ideas of tuning ala minimalist composers like La Monte Young and mainlines it with neo-folk stylings, producing an audible trace akin to the spots on blue cheese. The opening track "Weekends" starts with a beautiful field recording of the Nova Scotian landscape, setting the album's tone with a lone slide guitar. Juxtaposed with these are excerpts of his saxophone quartet and piece for bowed strings, both being beautiful sheets of spectral harmonics. The album clocks in at just below 22 minutes but definitely feels like you’ve traveled a long way when it's finished. Recommend listening straight through. In solitude. Absolutely NO computer speakers!De l’esprit en éclat comme un prisme de Zachary Fairbrother (Traduit par Odile Leclerc)
Ryan Kirk est un gradué du Programme de Composition de l’Université de Dalhousie. Il joue régulièrement avec The Ether et OmmaCobba et a collaboré avec 902 semblables gens étranges Gown. En tant qu’une partie de la série FreeWave de Divorce Records, Kirk voit sa première sortie glisser de ses explorations antérieures de drone (voir Wargaz) vers les régions plus profondes des modalités, de tons et d’accords. Microtonal Freewaves joue avec les idées d’accord des compositeurs ala minimaliste comme La Monte Young et les réaligne avec les stylings de neo-peuple, produisant une trace audible semblable aux tâches sur le fromage bleu. La piste d’ouverture ‘’Weekends’’ commence avec un magnifique enregistrement de champs des paysages de Nouvelle-Écosse, réglant le ton de l’album avec une guitare slide solitaire. Juxtaposée avec ceux-là sont des extraits de son quartet de saxophone et des morceaux pour des cordes pliées, chacun étant de magnifique pages d’harmoniques spectrales. L’album fini juste avant 22 minutes, mais il semble définitivement comme si vous aviez voyagé sur un long chemin lorsqu’il se termine. Recommander d’écouter d’un bout à l’autre. En solitude. Absolument PAS d’haut parleur d’ordinateur!