From the ambient pyres of Joshua Robinson:
Gentle hands cup the effusive ambience that falls from the slowly expanding sidereal quilt above. Our ears and eyes stay glued to that brilliant singularity from which all reserve, calm, and resonance bursts, overpowering the disempowered remembrancers. At the sound of memory, we dance like children around pyres of fireflies and fireworks, our gleeful exclamations subsumed by the ever-widening skies that, as the children themselves do, grow in situ: aging as we do; while we do; as we do. These songs unfold like sweeping sonic narratives, denouements within reach, but eternally elusive.
Des bûchers ambiants de Joshua Robinson: (Traduit par Jessica Grenier)
Des mains recueillent doucement l’ambiance expansive qui tombe lentement de la couette astrale suspendue. Nos yeux et nos oreilles sont mirés à cette singularité brillante qui nous maintient calmes et réservés dans notre ressouvenance, impuissants devant la force de sa résonnance éclatante. Nous dansons au son du souvenir comme des enfants autour d’un bûcher de lucioles et de feux d’artifice, nos exclamations joviales absorbées par le ciel infini qui, à l’image des enfants, grandit in situ : comme nous vieillissant, au même rythme, de la même manière. Ces chansons se développent comme des narrations accoustiques, le dénouement au bout des doigts, toujours élusif.