Roberta Bondar - Caustic

Two EPs in, Roberta Bondar have already fused nimble noise-rock with an experimental edge. Their latest, Caustic, grinds alt-rock and shoegaze into a sludgy pulp. “Children” opens with a string section that makes Bernard Hermann sound as serene as Brian Eno and features a repeated, mantra-like chorus. “Palm Bay” skids to a near-halt before rising from the dead midway through. The title track feels like a midnight trip through the Greenbelt on peyote. Caustic may slow down Roberta Bondar’s sound, but damn if it won’t stop your heart as well.

À peine deux albums de faits, et Roberta Bondar ont déjà fusionné le noise rock vif et la marge expérimentale. Leur plus récente sortie, Caustic, réduit du rock alternatif et du shoegaze en un amas boueux. Les cordes du premier morceau « Children » donnent à Bernard Hermann une apparence aussi sereine que Brian Eno; sans parler du refrain répété comme un mantra. « Palm Bay » dérape jusqu’à un arrêt presque complet, puis revient d’entre les morts à mi-chemin. La chanson « Caustic » est comme une excursion nocturne dans la ceinture verte sous l’influence de peyotl. Cet album ralentit peut-être le son de Roberta Bondar, mais il va clairement ralentir votre cœur aussi.


Roberta Bondar - Children


Roberta Bondar - Caustic