The latest release from Red Mass kicks off with the bluesy groove-mare "Mule Stone Hourly." Above a froth of warbling riff and fuzz, bandleader Choyce calls across the muck. "I work these hands/Bloody hands," he moans, breaking off into a Sabbathy solo overlaid with searching slide guitars far from the flesh and far into the ether. From here, we hear a rasping spoken lament for Arlis Perry, a woman murdered by ice pick at Stanford University in 1974, intoned over a crackling bed of white noise and sonic hiss-flames. There's also a bleakly romantic reflection on mercy — the ugly, Nick Cave-ian kind — and the jingle-stomper "Mamie's Got the Moves," a "Papa Oom Mow Mow" for a generation of consumptives. It's the happiest song on a tape called Sadness, and yet somehow it prowled my dreams, lingering and restless, for weeks.
La dernière sortie de Red Mass démarre avec la cadence blues de jument ‘’Mule Stone Hourly.’’ Au-dessus d’une mousse de riff et de flou gazouillant, le chef de groupe Choyce appelle à travers la saleté. ‘’Je travaille ces mains/ ces mains sanglantes,’’ il gémit, se brisant en un solo Sabbath couvert de guitares slide pénétrante loin de la chair et loin dans l’éther. D’ici, nous entendons une lamentation grinçante dite pour Arlis Perry, une femme assassinée par un pique à glace à l’Université de Stanford en 1974, psalmodié au-dessus d’un lit crépitant de bruit blanc et siffleur de flammes soniques. Il y a aussi une réflexion sombrement romantique sur la pitié—l’affreux genre Nick Cave-ian—et l’écrabouilleur de tintement ‘’Mamie’s Got the Moves,’’ un ‘’Papa Oom Mow Mow’’ pour une génération de consommateurs. C’est la chanson la plus joyeuse sur une cassette appelée Sadness, et encore, d’une façon ou d’une autre elle rôde dans mes rêves, s’attardant et sans repos, pour des semaines.

Red Mass - Mule Stone Hourly

Red Mass - Mamie's Got the Moves