From the grime spree of Alison Lang:
Tape number three from the brothers Grundy feels like a lyric poem that was torn into shards and taped back together again, peaking with “When You Can't Beat the Dream,” a song that stutters and starts and spits, talking pretty about the edges of consciousness and old rays of light. This band excels at describing the intangible; each song's mathy meat gives the delicate lyrics weight and heft. Quaker Parents are part of a Halifax vanguard making healthy music that's good for the brain and body and soul, cleverly disguised with blink-and-you-miss-them hooks. These are songs you can hold onto and listen to over and over again, until you get older, until you smile at last in understanding.De la série de grimes d’Alison Lang: (Traduit par les vieux rayons de Maya Keshav)
La troisième cassette des frères Grundy a l’air d’être un poème lyrique qui était déchiré en éclats et scotché ensemble encore, en atteignant un sommet avec “When You Can’t Beat the Dream,” une chanson qui bégaye et saute et crache, en parlant avec de beaux mots à propos des limites de la conscience et les vieux rayons de soleil. Ce groupe excelle à décrire l’intangible; le corps mathématique de chaque chanson donne l’importance et le poids aux paroles délicates. Quaker Parents sont une partie d’une avant-garde à Halifax qui crée la musique saine qui est bon pour la tête et le corps et l’âme, déguisée astucieusement avec les accroches si-tu-clignes-les-yeux-tu-vas-les-manquer. Ces sont des chansons que tu peux conserver et écouter encore et encore, jusqu’à ce que tu deviens plus vieux, jusqu’à ce que tu souris enfin en compréhension.