From the doom swells of Paul Lawton:
I caught this band at one of Sled Island 2013's many lost soul refugee camps for Canada's rock set. Pop Crimes were perfectly suited for that particular form of climate crisis: deep, heady and drowning in hopelessness. When you’re running from the floods, you have to pick your poison: do we bliss out and pretend that nothing is wrong? Do we try and connect with the internal doom swells and ride the lightning? Consider this post-Sled guilt that I was busy shotgunning warm Pilsner and asking "what band is this?" instead of getting dirty, filling sandbags or rescuing puppies. Winnipeg remains the soundtrack for my guilty conscience.
Des vagues pessimistes de Paul Lawton: (Traduit par la mauvaise conscience d’Andréanne Dion)
J’ai vu ce groupe à un des nombreux camps de réfugiés pour les âmes perdues du rock canadien du festival Sled Island 2013. Pop Crimes convenait parfaitement à ce genre de crise météo: riche en émotions, enivrant et se noyant dans le désespoir. Quand on fuit des inondations, il y a un choix à faire : est-ce qu’on se la coule douce et on fait semblant que tout va bien? Est-ce qu’on essaie de connecter avec les vagues pessimistes intérieures et risque l’électrocution? Considérez ceci de la culpabilité d’après Sled, où j’étais occupé à caler de la Pilsner chaude et à demander "C’est quoi ce groupe?", plutôt que de me salir à remplir des sacs de sable ou à sauver des chiots. Winnipeg reste la bande-sonore de ma mauvaise conscience.