From the last chance of Hugo Hyart: (Translated by Hugo Hyart)
Police des Mœurs further their Euro connections with the Mannequin Records coldwave cartel. On their first full-length LP, the Montreal group expand on their synthetic anthems of dark/luminous feelings. Under the guise of an Orwellian aesthetic, they declaim slammed observations on the floating air of the current era with dark and sumptuous synth-pop attacks. Tightrope-dancing moves on the verge of the void make you feel like running away from your troubles or into them head on.
This is the secret score for a grey, urban wasteland in the making, a natural environment for doom-blessed lives. Everyone wears a mask in the public space, leaping into their fortress of worried solitude. These internalized dances externalize thoughts to escape the unease. Mistakes meditated over and over enable an elevation. You are invited to soundtrack your anxieties and simultaneously escape.
De la dernière chance de Hugo Hyart:
Police des Moeurs étendent leurs connexions européennes avec le cartel de la coldwave Mannequin Records. Sur leur premier long jeu, le groupe de Montréal prolongent leur hymnes aux sentiments clair-obscur. Sous le couvert d’une esthétique orwellienne, ils déclament des observations claquantes sur l’air ambiant de l’ère actuelle au milieu d’attaques synthpop toujours sombres et somptueuses. Des mouvements funambulistes dansants au bord du gouffre vous donne envie de courir pour fuir ou aller faire face à vos problèmes.
Ce disque est une bande-son secrète pour des pays urbain gris, champs de ruines en puissance, environnement naturel pour des vies condamnées-bénies. Tout le monde porte un masque dans l’espace public et s’enfonce dans sa forteresse de solitude inquiète. Ces danses interiorisées là exteriorisent des réflexions pour échapper au malaise. Les erreurs méditées continuellement permettent de s’élever. Vous êtes priés de nourrir vos anxiétés pour leur échapper.