From the impeccable programming of Hugo Hyart: (Translated by Hugo Hyart)
On their newest EP, Police des Moeurs explore universal feelings of unease. Internal accusations and pangs of guilt are narrated and dissected to the sound of impeccably programmed synthesizers. The band brings to mind a number of references without ever falling into simple emulation. Melancholic voices acknowledge situations where no happy ending can be expected. Maybe they can be overcome, or maybe not. There are blends of frustration (“Tu as honte parfois”) and abandon (“Echéance”), with despair expressed by the slogan on the cover (The Salary for your Sin, it is Hell). A final tribute is paid to the Adverts, diverting our thoughts from these dark reveries. There is something cold at the heart of the EP’s orchestration and themes, yet at the same time it is luminous and alive. A haunting collection of tracks.
De la programmation impeccable de Hugo Hyart:
Police des Moeurs énonce un malaise qui traverse souvent les êtres. L’accusation qui viens de l’intérieur, le sentiment de culpabilité disséqué par exemples narrés aux sons impeccablement programmés de synthétiseurs qui évoquent nombrede références sans tomber à pieds joints dans la simple émulation. Les voix mélancoliques font prendre conscience de situations qui ne peuvent que finir mal, peut-être pour mieux les surmonter, peut-être pas. Des mélanges de frustration (« Tu as honte parfois »), d’impuissance (« Echéance ») et de désespoir qui s’exprime jusque dans le slogan de la couverture … Un hommage rendu aux Adverts en postface nous tire de nos sombres méditations. Il y a à la fois quelque chose de très froid et sombre dans l’orchestration et les thèmes, mais en même temps c’est aussi lumineux et actif. Une collection de morceaux obsédante.