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They may tag themselves “slacker” on Bandcamp and share their name with a lunch-break-sized marijuana cigarette, but Pinner work their asses off. Playing countless local shows has honed the four-piece into something acerbic, heartfelt and completely their own. See: “Island Song,” where a lover is discarded for their detrimental effects on mellow. See: “Learn to Swim,” a disaster fantasy set on the Queen of Victoria’s smoke deck. Three vocalists, each coly their own beast, deliver indefatigable hooks. Pinner is making music that almost forces a reviewer to use the adjective “timeless.”
Ils ont beau se définir comme paresseux sur Bandcamp et avoir adopté le nom d’un petit joint de marijuana, les membres du groupe Pinner travaillent d’arrache-pied. Offrir d’innombrables performances locales a affûté le groupe de quatre membres, pour en faire quelque chose d’acerbe, de senti et qui lui est entièrement propre. Voir Island Song, où un amant est rejeté à cause de ses effets néfastes sur l’humeur. Voir Learn to Swim, un désastre imaginaire se déroulant sur le pont des fumeurs du Queen of Victoria. Trois chanteurs, trois bêtes en soi, qui jouent des vers d’oreille infatigables. Pinner crée de la musique qui oblige presque les critiques à la décrire comme «intemporelle».

Pinner - The Worst

Pinner - Island Song