From the incorporeal graffiti of Jesse Locke:
The name Paul Colilli may be relatively unheralded in the annals of Canadiana, but his contributions to the underground canon must not be overlooked. As a founding member of Hamilton’s O.G. electro rockers Simply Saucer --- in the band’s pre-Cyborgs Revisited six-piece formation --- he helped lay the foundation for one of the most crucial lysergic-rock groups of that or any era. Several lifetimes later, Colilli re-emerged from a parallel existence in academia with the aptly titled solo release, Psycho Sacred Music, and now steps forth once again with Hieroglyphs of the Soul. With a spoken/sung delivery reminiscent of Ray Davies, he spins yarns of the alchemical Jesus, Syd’s vegetable man reincarnate, and an ongoing exploration into the concept of dead angels. I want to believe...
Du graffiti incorporel de Jesse Locke : (Traduit de l’âme pseudo-alchimiste de Dominic Mpilé)
Le nom de Paul Colilli est peut-être relativement méconnu dans les annales Canadiennes, mais sa contribution à notre canon underground ne doit pas être négligée pour autant. En tant que membre fondateur du groupe électro d’Hamilton Simply Saucer – dans l’incarnation sextuor du groupe qui date d’avant Cyborgs Revisited -- il a participé à la création de l’un des plus importants groupes de rock lysergique de tous les temps. Après une absence qui a semblé durer plusieurs vies, Colilli a émergé d’une existence parallèle dans le monde universitaire avec le tube solo judicieusement intitulé Psycho Sacred Music, et puis remet maintenant ça avec Hieroglyphs of the Soul. Avec un débit tantôt chanté, tantôt parlé qui rappelle Ray Davies, il nous raconte les histoires de Jésus l’alchimiste, de la réincarnation du vegetable man de Syd, et offre une exploration continue du concept des anges morts. Je veux bien y croire...