From the muted trombone of Brennan McCracken:
The song titles and eclectic proclivity of PANOS’ self-titled debut may suggest a link to another grandiose Canadian band, but these similarities are mostly superficial. While the aforementioned Toronto collective played with broad, colourful strokes, PANOS presents itself as a more muted and subdued affair. Ringleader Panos Giannoulis’ previous experience with local jazz great Jerry Granelli shows throughout, especially on the graceful sway of the apropos “SevenEight”. The interplay between big and small is brilliantly explored here, but even the record’s loudest moments feel remarkably gentle, as if softened by years of external exposure.
Du trombone muet de Brennan McCracken: (Traduit par le balancement instable de Julie Forget)
Les titres des chansons et la tendance éclectique du premier album éponyme de PANOS peuvent évoquer un autre groupe canadien grandiose, mais ces similarités sont pour la plupart superficielles. Alors que le susmentionné collectif torontois jouait de manière forte et colorée, PANOS propose un son plutôt doux et feutré. L'effet d'une collaboration antérieure entre le leader Panos Giannoulis et Jerry Granelli, grand artiste jazz local, se fait entendre tout au long de l’album, surtout dans l'harmonie gracieuse de l'à propos « SevenEight ». L'interaction entre grand et petit est brillamment explorée ici, mais même les moments les plus puissants de l'album paraissent remarquablement légers, comme adoucis par des années d'exposition externe.