From the granite hourglass of Joshua Robinson:
Silent drones weave their way over krautrock dunes, leaving in their wake the ambience of still waves that roll ad infinitum to the caterwaul of kosmische zeal. Not unlike the thick sediment that compresses to form the terra firma underfoot, longform post-rockery collects as the geological imprint of T-CE!; sounds of the earth awakening to the bombast of the nuanced footprints that leave marks on the sphere’s weathered face. This is post-rock for those who look to the firmament and see sierras in its folds; hymns that travel serpentine divides, collecting at our feet in the form of granite hourglasses.
Du sablier de granite de Joshua Robinson: (Traduit par le regard étoilé de Jessica Grenier)
Des drones silencieux louvoient jusqu’aux dunes de krautrock, laissant dans leur sillage une ambiance de vagues roulant ad infinitum sur le feulement du zèle kosmische. Semblable à l’épaisse couche de sédiments compressés formant la terra firma sous nos pieds, la post-rockerie durable recueille, comme l’impression géologique de T-CE!, le son de la terre réveillée par la grandiloquence des empreintes nuancée laissant des traces sur son visage érodé. C’est du post-rock pour ceux qui regardent le firmament et y retrouvent des sierras; des hymnes voyageant sur des fossés serpentins pour finalement tomber à nos pieds, sous forme de sabliers de granite.