From the cyclopean landform of Jake Bornheimer:
Out of Sight of Land trundles along like a weary traveler in a boreal forest. Accordion textures grind and shift against each other in slow and odd-time. Flat-sounding but very beautiful double-tracked vocals sing disjointed melodic lines and blend into the hypnotic music with ease. The lyrics slide by. On songs like “Morningtide” a sense of darkness creeps in with an interplay of dissonance, conjuring Wyrd Visions. These songs dually encapsulate great landscapes and private-evening-cups-of-tea. When an unprecedented shift or a peppering of percussion appears, it is a revelation.
Du paysage cyclopéen de Jake Bornheimer: (Traduit par la prunelle aérienne de Jessica Grenier)
Out of Sight of Land est comme un voyageur fatigué cheminant lentement dans une forêt boréale. Les textures en accordéons bougent et se broient lentement les unes contre les autres, par à-coup. Une musique hypnotique où se fondent deux voix faussant joliment et chantant des lignes mélodiques décousues. Les paroles suivent leurs cours. Dans les chansons comme « Morningtide », une sensation envahissante d’obscurité dissonante s’installe, conjurant des Visions Étranges. Ces chansons encapsulent la dualité de gigantesques paysages et de soirées-intimes-à-boire-du-thé. Chaque changement impromptu ou percussion spontanée est une révélation.