From the wild blue yonder of Joshua Robinson:
Folk and electric elements whisk within reach, swaying precipitously in time to the breaking of leaves from tree-arms. These interlock to form the canopies through which hushed lullabies creep to find cupped hands clasping for the song that falls from the ether of cumulous mirrors in the sky; welkin as passage to the echos of the wilted recompense that lingers in pockets full of cedar ash apologues.
With pens emptied and pencils stubbed on fraying parchment, the paraphrasing of etched sentiment is sewn into the worn fabrics of a quilted shadow-heavy embrace, keeping warm the inner stirrings of throat lorne singalongs that carry the sentiment of the wild blue yonder. Arms opened, chests heavy and full of leaves, we stir the cindered churns of glyphs worn and frayed by the distances travelled to find interlaced hands in the form of tree-arms that bud anew.
Du grand inconnu azur de Joshua Robinson: (Traduit des cendres presque phoenix de Catherine Debard)
Des éléments folks et électriques s’agitent à portée de main, se balançant précipitemment à temps pour la chute des feuilles de l’arbre-bras. Ils s’assemblent pour former des pirogues à l’intérieur desquelles des berceuses se glissent pour trouver des mains aux paumes ouvertes, prêtes à y étreindre une chanson qui tombe de l’ether de miroirs cumulus dans le ciel; une voûte céleste passage pour les échos de récompenses qui traînent au fond de poches de pantalon remplies de cendres de cèdres apologues.
À l’aide de stylos vidés et de crayons écrasés comme des mégots sur de frêles parchemins, paraphraser le sentiment ancré, cousu au tissu usé d’une étreinte molletonnée d’ombre pesante. Se tenir au chaud au creux d’une gorge dans laquelle est murmurée une chanson à l’unison porteuse du grand inconnu azur. Les bras ouverts, la poitrine lourde et remplie de feuilles, nous retournons les cendres de glyphes érodés par les distances parcourues, à la recherche de mains enlacées en forme d’arbres-bras en éclosion.