From the maniac throat of Kevin Stebner:
Not to be confused with the unfairly-forgotten but incredible Edmonton band of the same moniker, Toronto’s No Hands deliver a cassette of tough ragers; a united front of the wuss-free. Opener “Lifejacket” is the perfect harbinger for the proceeding shred-fest: ignorant bass into Jehu-like riff, maniac thoat caterwaul and charging drums. Rinse and repeat. None of that middle ground junk, either be hella soft or hella hard. In a world of candy-ass “punk” bands, it’s great to see No Hands dish out some assured, pissed jammers to flail away the nights. Yes please, hit me with that burly Traynor sound.
De la gorge folle de Kevin Stebner: (Traduit par Andreanne Dion)
À ne pas confondre avec l’injustement oublié mais incroyable groupe d’Edmonton du même nom, les Torontois No Hands nous livrent une cassette de morceaux solides, un front uni sans chansons molles. « Lifejacket », le premier morceau, annonce le festival shred qui suit : des riffs de basse à la Jehu, des miaulements de gorge fous et une batterie qui défonce. Rincez et répétez. Pas de compromis; soit vous êtes carrément doux, soit vous êtes carrément heavy. Dans un monde de groupes « punk » bonbons, ça fait plaisir de voir No Hands servir des chansons pleines d’aplomb et de furie pour nous faire danser toute la nuit. Oui, s’il vous plaît, balancez-moi le son solide de Traynor.