From the airtight held breath of Benoit Arcand: (Translated by the crackling campfire of Odile Leclerc)
In the semi-darkness, a barely phosphorescent mirage, Nimbes imposes without intrigue the iridescence of its presence. No need for a campfire near a beach cabin, young and mournful: here everything crackles around your head, licks your cheek like a wave of heat. Instead make yourself a sarong from these pyramidal keyboards, plant yourself on this homeopathic surf and caress this abyssal groove.
Don’t forget to shine in the night.
De l’apnée hermétique de Benoit Arcand:
Dans la demi-pénombre un mirage à peine phosphorescent, Nimbes impose sans intrigue l’iridescence de sa présence. Pas besoin de feu de camp au bord d’un shack de la plage, jeune mélancolique: ici tout crépite autour de ta tête, te lèche la joue comme une vague de chaleur. Fais-toi plutôt un paréo de ces claviers pyramidaux, plante-toi sur ce surf homéopathique et caresse ce groove abyssal.
N’oublie pas de briller dans la nuit.