From the aberrant psychology of Jake Bornheimer:
Gardens is a matrix of acoustic sound, constantly fluxing and slowly transmuting to alternate forms. Cacophony to symphony. There’s an incredible sense of flow here, some sections surge forward, others float blissfully on. Storring employs dissonance expertly throughout the pieces. Elements of the music come from all over the place: post-rock melodic structure, classical influences, gamelan, drone, what sounds like tibetan singing bowls, and a host of instruments spanning India, Thailand, China, Indonesia, Turkey, Africa, and more. As one listens they find themselves sinking backwards into a trance. The experience is dark, enchanting, repellent, and resplendent.Gracieuseté de la psychologie aberrante de Jake Bornheimer: (En direct de l’hémisphère gauche de Diane Beaupré)
Gardens est une matrice de sons acoustiques, toujours en mouvement, mutant lentement en formes alternatives. De la cacophonie à la symphonie. Il se dégage une sensation de flux surprenante. Certaines portions déferlent comme une vague, d’autres nous donnent envie de s’y abandonner. Dans tous les morceaux, Storring utilise la dissonance de façon experte. Des éléments musicaux jaillissent de toute part : structure mélodique post-rock, influences classiques, gamelan, drone, un son qui ressemble à celui des bols chantants tibétains et une panoplie d’instruments provenant de Thaïlande, Chine, Indonésie, Turquie, Afrique et d’ailleurs. Pendant l’écoute, on entre en transe. L’expérience est sombre, enchantée, repoussante et resplendissante.