From behind the steering wheel of Stefana Fratila:
Top-down, see him drive-by wearing all-white. Just a moving speck on these starry hills, fingers swimming in the glove compartment. Percussion nips at his ears like little laughing Hollywood spirits, strings swelling at the same rate of his heart cracking: “you must know that I don’t want to just watch the wheels go round, yeaah!” The sun has set and he rolls into the backlot. Wrap your hands with this silk, breaking out of this scenery as your own heart weakly speaks, repeats: “makes me feel like going home / under a low-slung moon’s soft glow”. Hold your torches high, it’s Oscar Night.
Depuis l’arrière du volant de Stefana Fratila: (Traduit par le pare-brise déglingué de Julie Mayer)
Regardez-le passer près de vous, la capote abaissée, tout de blanc vêtu. Juste un petit point qui bouge sur ces collines étoilées et dont les doigts nagent dans la boîte à gants. Les percussions mordillent ses oreilles tels de petits esprits rieurs hollywoodiens, les cordes se gonflent au même rythme que son cœur craqué : « you must know that I don’t want to just watch the wheels go round, yeaah ! » Le soleil s’est couché et il roule vers le backlot (N.d.T. : zone adjacente du studio de cinéma destinée au tournage extérieur). Enveloppez vos mains dans cette soie et émergez de ce décor, alors que votre cœur parle tout bas, répète : « makes me feel like going home / under a low-slung moon’s soft glow ». Tenez vos lampes de poche bien haut; c’est la soirée des Oscars.