From the still life of Stéphanie St-Jean Aubre:
To deliver Dorothy Parker’s poetry, Myriam Gendron went for the folk genre. Her low and solemn voice stays in the forefront accompanied by sparse harmonies and rhythmic fingerpicking. The treatment is simple, honest. The words, evocative and powerful are savoured and given with fragility. The bed is made for intimacy, emotions and storytelling. The voice is shivering and raw : technique is not the focus. Not So Deep as a Well is a short encounter with one, well, two women, behind a window, as the world outside is blossoming.Direct de la nature morte de Stéphanie St-Jean Aubre:
Pour partager la poésie de l’Américaine Dorothy Parker, Myriam Gendron a choisi l’avenue du folk. Sa voix, grave et solennelle, est à l’avant-plan, accompagnée de quelques harmonies et d’un fingerpicking rythmique. Le traitement est simple, honnête. Les mots, évocateurs et puissants, sont savourés et livrés avec fragilité. Ce n’est pas la virtuosité qui importe, mais bien le moment, le ressenti et la parole à faire entendre. Not So Deep as a Well, c’est un album humble : une femme derrière une vitre, une femme et sa guitare, une femme et un livre, une femme dans une autre femme.