From the greasy baptism of Jared Majeski:
Some say it ain’t always good to look at the world through rose-coloured glasses; Mouth want you to put on the shades, and never take ‘em off. Gravelly garage rawk of a Lips/Jonestownian ilk, these blissed-out rabblerousers hearken nicely back to sweaty basements of ’66 and ’07. Urban libertines play sock hops (“Fortune Teller Blues”), black-lit comedowns (“Déjà Vu”) and scratchy tape-to-tape harmonies (“Clever Disguise”). Come one come all to a greasy baptism revival; heavy leather on sweaty bods.Du baptême graisseux de Jared Majeski: (Traduit par les harmonies discordantes de Maya Keshav)
Certains disent que ça va pas de voir toujours la vie en rose; Mouth veut que tu voies la vie en rose, ainsi qu’en violet, en lilas, et en bleu pervenche. Avec le chahut rocailleux garage de l’acabit Lips/Jonestown, ces fripons bienheureux rappellent merveilleusement les sous-sols qui sentaient la sueur des ans ’66 et ’07. Les libertins urbains jouent les danses familales (“Fortune Teller Blues”), les descentes en lumière noire (“Déjà Vu”) et les harmonies discordantes cassette-à-cassette (“Clever Disguise”). Approchez et venez tous à cette renaissance d’un baptême graisseux; le cuir lourd sur les corps en sueur.