From the lipsticked blazer collar of Alanna Yaraskavitch:
Engines rev. Teens yell. Power chords. Following their debut by four years, the second full-length from Mother’s Children is determined to make snarling yet sweet power-pop everybody’s business. Underneath the ripping solos and a rhythm section that thunders louder than your ex-girlfriend’s motorcycle are four endearing dudes happy to pose as teenage rebels, blazers and DIY razored haircuts included. Songs of androgyny, mystery and lust, with just enough palm muting to raise drunken fists excitedly in the air. Instant happiness, now in stereo.
Du collet de veston taché de rouge à lèvres d’Alanna Yaraskavitch: (Traduit par Jacinthe Laplante)
Des moteurs vrombissent. Des ados crient. Cordes électriques. Quatre ans après son entrée en scène, Mother’s Children revient avec un album déterminé à intéresser tout le monde à la power-pop grinçante, mais adorable. Derrière les solos déchirants et la section rythmique qui gronde plus fort que la moto de ton ex-blonde, on trouve quatre mecs attachants et heureux de jouer les ados rebelles, blazers et coupes de cheveux faites maison compris. Des chansons à propos d’androgynie, de mystère et de luxure qui ont juste assez de palm mute pour faire lever les poings enivrés dans les airs. Bonheur garanti, maintenant en stéréo.