From the infinite squall of Joshua Robinson:
With an ear for the sound of nuanced infinity, Saskatoon’s Stephen Cooley imbues these songs with the vitality of the endlessly temperate dusk. Wind against face. Face against firmament; the deep, dark sky of our mirrored looking-glass self. There is a stirring at the point where electrostatic impulse causes fibers to weave together; that point of calm before the storm when stillness is animated and motion becomes static. Herein lies the potential energy of the prairie squall: a slumbering giant.
De la bourrasque perpétuelle de Joshua Robinson: (Traduit par le regard impressionné de Jessica Grenier)
L’oreille sensible à la sonorité nuancée de l’infini de Stephen Cooley – de Saskatoon – a insufflé dans ces chansons la vitalité de la pénombre perpétuellement tempérée. Le vent sur le visage, le visage vers le firmament; la sombre immensité du ciel, notre reflet fixant le miroir. Il y a une vibration à l’endroit où les filaments, sous une impulsion électrostatique, s’entremêlent : le calme avant la tempête, le moment où l’immobilité s’anime et où le mouvement se fige. De là vient toute l’énergie potentielle des bourrasques des Prairies : un géant endormi.