From the dizzy poison of Steven Reed:
You are dizzy from poisons, blasting a scrappy tape of raw jams you found in the weeds behind school. It was underneath burnt plastic owls and braids in lumps of wax. A circle of doll stuffing and Garbage Pail Kids wrappers. The tape was wrapped in an angry note on looseleaf, stuffed into a cigarette box: “don’t fret, dim beast, your sleep paralysis is just lungs crushed and punctured by the talons of the crone perched on your ribs.” Something about that primaeval tape compels you to listen closer for traces of passage rites and hexes. What do you do?Du poison capiteux de Steven Reed: (Traduit par Jessica Grenier)
Tu es étourdi par le poison, ta cage thoracique vibrant aux jams bruts de la cassette décousue trouvée dans les buissons derrière l’école. Elle était cachée par les tas de cire faits de cordes et de hiboux en plastique fondus, dans un cercle de rembourrage de poupée et d’emballages Les Crados. La cassette, emballée dans un message griffonné sur une feuille mobile, était dans un paquet de cigarettes : « N’aies pas peur pour ta paralysie du sommeil, faible bête, ce ne sont que tes poumons écrasés qui ont été percés par les talons de la sorcière perchée sur tes côtes. » Quelque chose dans cette cassette primitive te force à tendre l’oreille, à chercher des indices de rites de passage et de malédictions. Qu’est-ce que tu fais?