From the post-apocalyptic beer of Max Cotter:
This dystopian look at the glass half-full begs the question: Who says disenchanted youth can’t throw a bitchin’ party? Monomyth stand on a Halifax pier celebrating its unswimmability, diving into the toxic sludge without hesitation. They can tell the difference between mud and chocolate, but find a cause for celebration within that distinction. Each chord of “Trash Day” and “The Silence I See” ring out like a retrospective laugh over a post-apocalyptic beer amongst lifelong pals sporting shit-eating grins. The world was fun while it lasted but its desecration was inevitable, so take it in stride and song as the ending credits roll.
De la bière post-apocalyptique de Max Cotter: (Traduit par le générique de début de Virginie Langlois)
Cette manière dystopique de voir le verre à demi-plein amène la question suivante : Qui a dit que la jeunesse désenchantée était incapable d’organiser une putain de bonne fête? Sur un quai du port d’Halifax, Monomyth célèbre le fait qu’on ne s’y baigne pas et n’hésite pas à plonger dans les boues toxiques. Le groupe sait faire la différence entre boue et chocolat, mais trouve un prétexte à la célébration au sein de cette distinction. Chaque corde de « Trash Day » et de « The Silence I See » résonne comme un rire rétrospectif autour d’une bière post-apocalyptique bue entre vieux potes arborant un rictus empreint d’arrogance. Le monde a été bien tant qu’il a duré mais sa profanation était inévitable, alors suivez bien les paroles et la musique, c’est l’heure du générique de fin.