From the sacred hands of Tobias Rochman:
Like most modern acts, Monomyth’s palette is wide. Several seeds are sewn to create the over all, glue-heavy, floral print, guitar-jungle, info-age, post-mailorder decoupage. The A-side is all hooky, ramshackle, Flying Nun, weirdo pop anthems wherein several young men all sing the same thing at the same time. Ze B-side is more textural, very ’90s, very foggy British haze-gaze psychedelia. Basic beats scale back the cheese and slather on ze butter. It’s pretty enough to be popular but you get the impression they are “taking the piss” rather than “taking a piss”. Hopefully all the prospective labels out there get ze memo about ze demo. Halifax always has betweenDes mains sacrées de Tobias Rochman: (Traduit par les mains épuisées de Maya Keshav)
Comme la plupart d’actes modernes, la palette de Monomyth est grande. Plusieurs graines sont cousues pour créer le decoupage général, trempé de colle, floral, jungle-de-guitare, âge d’informatique, post-correspondance. La face A n’est que les hymnes bizarres, accrocheux et délabrés à la Flying Nun, dans lesquels plusieurs jeunes hommes chantent tous la même chose en même temps. The face A est plus texturée, tellement années 90, le psychédélisme tellement flou et anglais et haze-gaze. Les rythmes simples réduisent la ringardise et étalent the beurre. C’est assez beau d’être populaire mais il te donne l’impression qu’ils sont auto-dérisoires plûtot que détendus. Avec un peu de chance, toutes les étiquettes vont recevroir the annotation à propos de the demonstration. Halifax a toujours entre