From the smoke and mirrors of Johnnie Regalado:
An offering from below. A self-aware relic. Sacrificial lamb for the gods of rock. This would surely please the kings. There’s enough blissful harmony here to make a chorus of angels bashful. There are enough duels to the death between dual guitar lines to spill a carpet of blood. Monomyth have composed their opera in a house of mirrors. Twang and tones flex from concave to convex, fine-tuned over a friendly game of cards between fiends. Behold the power….
De la poudre aux yeux de Johnnie Regalado: (Traduit par l’équilibre de Julie Forget)
Une offrande provenant de plus bas. Une relique qui se connaît bien. Une victime expiatoire pour les dieux du rock. Cela plairait sûrement aux rois. Il y a ici une assez grande harmonie bienheureuse pour rendre les anges d’une chorale timides. Il y a assez de duels à mort entre les doubles lignes de guitare pour faire couler un tapis de sang. Monomyth a composé son opéra dans une maison de miroirs. Des sons de corde pincée et des tonalités se courbent en traits concaves et convexes, bien réglés lors d’une partie de cartes amicale entre démons. Voici la puissance…