From the negative geography of Jared Majeski:
The trappers’ cabin, the anglers’ wharf, the axiomatic loneliness of the barren and the beautiful. Here in the fertile twilight of K Points, the epicedium wafts light and airy. Like wet spiderwebs in the wind, smokey poems billow and twist and make us question the penetralia we don’t yet know exists. Through comforting creaks, falsetto layers and upside-down counties, we begin to thirst for answers to our toponymous queries. As Max declares, “Why did we grow up so?/What gave us a heart and a soul?”
De la géographie en négatif de Jared Majeski: (Traduit par Aliké Harel)
La cabane du trappeur, le quai du pêcheur, la solitude axiomatique du dénué et du beau. Ici, dans le crépuscule foisonnant de K Points, l’homélie insuffle lumière et légèreté. Comme des toiles d’araignée humides au vent, les volutes de vers tourbillonnent et se tortillent pour remettre en question le noyau dont nous ignorons encore l’existence. Grâce aux grincements réconfortants, aux voix de fausset en trame et aux comtés sens dessus dessous, nous devenons assoiffés de réponses pour assouvir nos quêtes toponymiques.Dans les mots de Max : « Why did we grow up so?/What gave us a heart and a soul? ».