From the seductive text of Joni Sadler:
After playing in numerous Ottawa bands over the past decade, Mark Alexander McIntyre has finally gone and released a solo record. As it turns out, Situs Inversus Totalis was worth the wait: McIntyre’s slow-burn acid folk possesses a unique and eerie sense of timelessness that is rare in so much of the music being produced today. Waves of queasy feedback stand in nice contrast to simple acoustic guitar and sparse vocals, and the whole record - right down to its plain cardboard sleeve and Xeroxed liner notes - remains nicely minimal in style. Ultimately, McIntyre channels the influences of sonic bros like Greg Ashley and Sir Richard Bishop through a haze of druggy sadness so damn well that all we’re left wondering is why it took him so bloody long to make a solo album in the first place.Du texte séducteur de Joni Sadler: (Traduit par Odile Leclerc)
Après avoir joué dans plusieurs groupes d’Ottawa dans le dernier 10 ans, Mark Alexander McIntyre est finalement parti et a sorti un enregistrement solo. Il s’est avéré que Situs Inversus Totalis valait l’attente : le lent acid folk de McIntyre possède un unique sens étrange d’éternalité qui est rare dans tellement de musique produite aujourd’hui. Des vagues de réactions malaisées se tient dans un contraste agréable comparé aux guitares acoustiques simples et aux chants éparés, et l’enregistrement au complet- jusqu’à ses ordinaires manches de carton et sa pochette d’album photocopié- reste joliment minime dans le style. Ultimement, McIntyre canalise les influences des frères soniques comme Greg Ashley et Ser Richard Bishop à travers un brouillard de tristesse droguée si bien que tout ce que nous nous demandons c’est pourquoi ça lui a pris tout ce putain de temps à faire un album solo en premier lieu.