From the suppressed metabolic state of Catherine Debard: (Translated by Catherine Debard)
The guitar rings like chimes in a wind full of possibilities. Chords resonate in an empty room, filling the silence. A voice is calling you, subtle yet omnipresent. There’s a time for sorrow, and a time after sorrow. A time to put a wool sweater in your backpack along with a good book, a bunch of tapes, new batteries for the Walkman, smokes (if necessary) and get out of the city. Sometimes migration is necessary. Listening to M. Mucci’s Dangerous Summer feels like walking in an abandoned space, a secret garden, remembering how it feels to be careless. Three instrumental explorations through 12-string guitar for your inner monologues.
De l’hypothermie régulée de Catherine Debard:
La guitare résonne comme un carillon dans un vent chargé de possibilités. Les accords traînent dans une pièce vide, remplissent le silence. Une voix appelle, subtile mais omniprésente. Il y a un temps pour la tristesse, il y a un temps après la tristesse. Un temps pour prendre un gros chandail de laine et le mettre dans son sac à dos avec un bon livre, quelques cassettes, des batteries neuves pour le baladeur, des clopes (si nécessaire) et sortir au plus vite de la ville, sans réfléchir. La migration est parfois nécessaire. Écouter Dangerous Summer de M. Mucci, c’est comme marcher dans un endroit abandonné, un jardin secret, se rappeler comment ça fait être insouciant. Trois explorations instrumentales de guitare à 12 cordes forment une méditation pour vos monologues intérieurs.