From the trick pony of Katie Jensen:
Trembling jelly words waiting to be scooped up with a plastic spoon. An apology repeated firmly and frequently. Postpunk played on 45 rpm, coated in honey, the needle dragging. Supine guitar melodies flex their ankles underneath a bleached rim. Carefully selected sentences shift horizontally, mimicking stacked papers lifting their skirts in the wind. A car crash played in reverse, glass triangles regathering like ants around a nest, front wheels racing backwards from an aquamarine, frothing crest. Once bitten, twice contemplative. A copper penny placed in the palm of a warm hand like a promise; the most unreliable currency; the most likely to be forgotten on the ground.Du poney de cirque de Katie Jensen: (Traduit par les fourmis oubliées de Maya Keshav )
Les mots tremblants de gelée qui attendent d’être ramassés avec une cuillère en plastique. Des excuses qu’on présente et répète avec fermeté, souvent. Du postpunk joué à 45 tr/min, enrobé de miel, l’aiguille traînant. Les mélodies allongées de guitare fléchissent leurs chevilles en dessous d’un rebord pâle. Les phrases soigneusement choisies se déplacent horizontalement, en imitant les paquets de feuilles qui soulèvent leurs jupes dans le vent. Un accident de voiture joué à l’envers, des triangles de verre qui se rassemblent comme les fourmis autour d’un nid, les roues avant qui courent en arrière d’une crête bleue-verte moussante. Une fois mordu, deux fois plus songeur. Un penny en cuivre mis dans la paume d’une main chaleureuse comme une promesse; la devise la moins fiable; celle qui est la plus probable de rester oubliée sur le sol.